Vol au-dessus d'un nid de coucou



CA Y EST !!!! Je l'ai enfin vu :D !


Cela faisait plusieurs année que je voulais voir ce film qui date de 1975 et qu'un certain nombre d'amis me conseillaient de "voir absolument" ! 
Je ne sais pas pourquoi j'ai autant tardé ?! Mais c'est maintenant chose faite et quel pied :) ! 

Voici l'intrigue: "Mac Murphy s’est fait placer dans un hôpital psychiatrique pour éviter la prison. C’est un type impulsif au caractère jovial qui sème un désordre salutaire et sympathique dans la communauté des patients. Il se heurte à l’autorité implacable de l’austère infirmière en chef : Miss Ratched. Mac Murphy entraîne les malades à la désobéissance et les encourage à se rebeller contre l’autorité pénitentiaire. Il découvre trop tard qu’il est allé trop loin".

Les acteurs
Jack Nicholson (Randall Mac Murphy), 
Louise Fletcher (L’infirmière en chef, 
Mildred Ratched), 
Danny de Vito (Martini), 
Christopher Lloyd (Taber)



Pour la bande annonce c'est ici.  

Je savais déjà que Jack Nicholson était un acteur fabuleux, mais dans ce film il est génial ! J'ai été très impressionnée par les gros plans sur son visage de plusieurs secondes qu'il sait parfaitement occuper. On voit toute les émotions qui le traversent !!! Quel acteur est capable de cette performance actuellement ?
On retrouve des "gueules"et la pâtes des années 70 c'est appréciable! 


Quelque part ça m'a fait réfléchir à la "toute puissance du médecin" et sur les comportements manipulateur. Mais là je suis dans l'après coup. J'ai plutôt été emportée par l'histoire...

Pour finir un petit mot du réalisateur pour stimuler vos analyse ;) :
Milos Forman résume l’esprit qui était le sien quand il a mis en scène le film :
« Le livre met en scène avec force, l’éternel conflit entre l’individu et l’institution. Nous inventons des institutions destinées à rendre le monde plus juste, plus rationnel. La vie en société ne serait pas possible sans les orphelinats, les écoles, les tribunaux, les administrations et les hôpitaux psychiatriques ; mais à peine existent elles que ces institutions se mettent à nous contrôler, à nous enrégimenter, à diriger nos existences. Elle poussent à la dépendance pour se perpétuer elles-mêmes ; et les fortes personnalités sont pour elles une menace". 





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